Quel délicieux sentiment que la paresse. Se délecter oisivement d'un soupçon de lenteur ne se vaut-il pas lors des soirées d'hiver? Prendre son temps, laisser l'aiguille en suspens un instant...plaisir suave et animal. Éloge de la paresse: vagabonder en suivant son imagination, s'octroyer de doux moments au chaud dans son petit ou grand appartement, écouter de vieux vinyles, lire au chaud sous la couette, allumer une bougie sentant le feu de bois. Indispensable délectation pour l'épanouissement de l'âme.